lundi 26 décembre 2022

SI CAREY PRICE ET LES DIRIGEANTS DU CH ÉTAIENT DES PINOCCHIOS...



Ouais, avec la quantité astronomique de mensonges dont ils abreuvent leurs partisans et les «merdias», depuis très longtemps, si les dirigeants du Cacanadien de MoronsRéal, et leur joueur le plus renommé, Scarey Price, étaient des Pinocchios, leur nez serait aussi long que des manches à balais !

Cacher la vérité, la violer, mentir, les Canailliens s'en sont fait une spécialité et une tradition au fil des dernières décennies.  La dernière saga de Scarey Price, des armes à feu, et du massacre de la Polytechnique, n'est que la suite d'une longue tradition de mensonges éhontés de cette organisation foncièrement malhonnête et hypocrite.

Rappelons-nous, il y a une dizaine d'années, le scandale étouffé des agressions sexuelles -dont au moins une sur une fille d'âge mineur- impliquant quelques joueurs du torCHon.  Puis, à peu près à la même période, les tentatives infructueuses de l'organisation des Molson de camoufler le scandale de Roman Hamrlik et des frères Kostitsyn liés à un membre de la pègre mourialaise.



Combien de fois nous a-t-on menti au sujet des blessures ou des problèmes personnels de certains porte-couleurs CHicolores ?  Très souvent...  Un joueur subissait-il une commotion cérébrale évidente, à la suite d'une collision ou d'un dur coup d'un adversaire, oups ! les responsables (ou plutôt les irresponsables !) du Caca d'CHien faisait fi de la santé du pauvre bougre et le renvoyait dans la mêlée après un pseudo-examen médical de quelques minutes dans le vestiaire...

Ce qui est le plus drôle (ou le plus pathétique), c'est que la direction des CHaudrons a menti si longtemps dans le cas de Price.  Ses problèmes de consommation de «substances» illicites (plus que des abus d'alcool, la version officielle mensongère) ont été cachés pendant plusieurs années.  Des blessures inventées se traduisant par de longues absences de durée indéterminée...

Et dans l'affaire des armes à feu et de la Poly, Scarey et les Cannes à CHiens se sont surpassés en matière de mensonges en y allant de menteries doubles ou «superposées».

En effet, on a d'abord vu le coach de pee-wee Tintin St-Louis, et quelques joueurs de la Flanelle sale, jouer les vierges offensées et défendre Scarey bec et ongles en affirmant qu'il ne pouvait pas être au courant de la tuerie de Polytechnique parce qu'il n'avait que deux ans lorsqu'elle s'est produite.  Pourtant, chaque année, le 6 décembre, on commémore cette tragédie dans la métropauvre.



Alors que l'affaire déchaînait les passions jusqu'à en faire une crise, Price a démenti qu'il n'était pas au courant du triste événement de 1989.  Ce qui est peut-être un mensonge par-dessus un autre, puisque Scarey a toujours vécu en vase clos dans la cité de Valérie Plante.  Il n'a jamais dit un mot de français dans ses communications verbales durant sa carrière professionnelle.

Le département des communications du Gros CHiard, et le président du CH, l'épais Geoff Molson, ont également erré dans cette crise.  Tout ce beau monde s'est contredit à qui mieux mieux.  Un vrai fiasco !  Et la preuve irréfutable qu'ils ont menti d'une façon ou d'une autre...

En s'associant à la Coalition canadienne pour le droit des armes à feu, qui, à la date anniversaire de la tuerie de la Polytechnique, a honteusement utilisé le code «Poly» pour inviter ses membres à profiter de spéciaux sur les produits en vente sur son site internet, Price a davantage ruiné sa réputation et compromis son héritage à titre de joueur vedette de la LNH.



Mais les fefans du Caca ont la mémoire courte.  Gageons que Scarey aura quand même droit aux grands honneurs et aux hommages de la multitude des partisans bipolaires du CH quand on retirera son chandail après la fin réelle de sa carrière de hockeyeur adulé...  D'ici là, Price aura encaissé les 23½ millions de $$$ qui restent à son contrat...

mardi 9 août 2022

FEFANS DU CH : «HEILLLLL ! C'EST MALADE !!!»



«Heilll !  C'est malade !!!»  Voilà le genre d'expression d'extase que l'on peut entendre de la part des fefans du CH quand ils voient Cold Coffee Caufield faire ses entourloupettes sur la patinoire.  Ouais, ça n'en prend pas beaucoup pour que ces émotifs bipolaires s'excitent !  Ils ont tôt fait du minuscule numéro 22 un vrai Dieu !  Un futur immortel du torCHon !

Que Caufield connaisse une disette de deux matchs sans scorer, et ces énergumènes exigeront qu'il soit échangé en retour de Connor McDavid !  Ils sont comme ça les fefans : des extrémistes du «sans bon sens» !  Incapables de voir la réalité telle qu'elle est.  Incapables de juger les choses -et le club de hockey qu'ils idolâtrent- convenablement.  Quand il est question du Canadien de Montréal, ils perdent la boule, ils perdent le nord, ils capotent !

C'est un cas d'étude psychiatrique.  Ne définit-on pas la schizophrénie par des troubles importants de la perception de la réalité ?  Selon la définition qu'en font les psychiatres, les personnes atteintes de cette maladie sont sujettes à un délire persistant.
  


Elles croient fermement que quelque chose est vrai, malgré l'existence de preuves du contraire.  

Elles sont également sujettes à des hallucinations, à une désorganisation de la pensée (distorsion), qui se manifeste souvent par un discours confus, des émotions incontrôlables, une perception supérieure de soi, une agitation extrême, ou encore une désorganisation du comportement.

Toutes de caractéristiques que l'on peut remarquer chez les fefans lorsqu'on les voit faire les fous ou se ronger les doigts au Centre PouBell.  Ou délirer sur les réseaux sociaux et les forums de discussion.  Ou lorsqu'ils sont incapables de tenir une conversation intelligente quand vous voulez argumenter avec eux.



L'éminent journaliste Réjean Tremblay, qui a inventé le mot «fefan», a mentionné à plusieurs reprises que ces partisans aveugles du Canadien ne savaient pratiquement ni lire, ni écrire.  D'où leur difficulté à exprimer clairement leur pensée  toute croCHe.  Ce qui rejoint une partie de la définition que donnent les psychiatres de la maladie mentale appelée «schizophrénie».

M. Tremblay a écrit : «Le fefan ne réfléchit pas et, surtout, ne doute jamais» (...) «il ne raisonne pas.  Il aime inconditionnellement.»

J'ajouterais que le terme «fefan» m'a toujours renvoyé, par son étymologie et sa prononciation, au concept d'infantilisme.  Qu'est-ce que l'infantilisme ? C'est le fait de se conduire comme un enfant.  C'est l'impuissance à voir les choses telles qu'elles sont.  Ou le refus de les prendre pour ce qu'elles sont.  C'est l'incapacité de distinguer ce qu'on sait de ce qu'on croit.  C'est prendre ses désirs pour la réalité.



Être infantile, c'est être aussi un fanatique envers l'autorité et les règles.  C'est : soit les refuser catégoriquement, soit les accepter aveuglément.  Comme les fefans gobent la propagande des dirigeants du Canadien, ou celle des journalistes ou commentateurs télé, eux-mêmes fefans du CH.

Être infantile, c'est être irresponsable, comme ces fefans casseurs qui font du grabuge ou du vandalisme en ville, quand leur club poche parvient à gagner (ou même à perdre) une série éliminatoire.  Quand ils renversent un véhicule de police, c'est un refus de l'autorité ou des règles de bonne conduite.  Ce qui les situe très bien dans l'infantilisme ou, ce que j'aime appeler «le CH difficile» !

Il y a des nuances dans la gamme des partisans du CHicolore.  Tous ne sont pas des fefans ou des bipolaires fanatiques.  Mais Réjean Tremblay a écrit que les fefans sont tous des «enragés», et que pendant la pandémie de COVID-19, il avait du mal à les reconnaître à cause du masque qu'ils portent, ce qui l'empêche de voir leur expression faciale caractéristique !



Alors oui, selon RT, le fefan a quelque chose de «fêlé», quelques araignées dans le plafond.  Quelque chose de bipolaire.  Il sera fier comme un paon de son club de hockey préféré quand ce dernier gagne.  S'il perd, il lui trouvera des excuses.  Si vous le contredisez, il se fâchera en devenant irritable.  Car il a une estime de soi exagérée.  Lui seul possède la vérité.  Il vous rabaissera, vous dénigrera, vous méprisera, et ira même jusqu'à vous insulter ou vous menacer...

Fou de même...  Pour lui, le CH c'est tout.  Et c'est merveilleux.  Une religion sacrée !  Il ne veut rien savoir des contradicteurs.  Il croit en ses dieux, malgré tout, envers et contre tous, comme les croisés chrétiens du Moyen Âge...  Les fefans sont des crédules convertis...

🏒🏒🏒🏒🏒

Cet article met un terme à la série que j'ai consacrée au phénomène des fefans.  Vous trouverez ci-dessous les liens vers les billets précédents, écrits à ce sujet.

https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2021/09/une-serie-sur-les-fefans-pour-rire-un.html

https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2021/09/merci-rejean.html

https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2022/03/le-fefan-du-ch-dans-la-pensee-de-rejean.html

samedi 23 juillet 2022

TROPHÉES CANADINDES : PLACE AUX CANDIDATS POUR LE TITRE DE PIRE DIRIGEANT DE L'ANNÉE.

Comme on dit toujours, "ça va comme c'est mené" !  Et Dieu sait comment cela a mal été pour les minables Canadiens de Montréal, la saison dernière.  Une 32e et dernière place historique au classement des équipes de la Ligue Nationale de Hockey !  Une vraie honte et un choc pour cette organisation qui se targue d'être tellement prestigieuse depuis toujours.

C'est pourquoi, face à ce désastre retentissant, plusieurs des incompétents responsables de cette déroute totale en ont payé le prix en étant foutus dehors.

C'est une tâche titanesque et parfois ingrate de diriger un club de hockey majeur.  Seuls les dirigeants les mieux qualifiés peuvent y arriver avec succès.  Mais tous les hommes de hockey sont assis sur des sièges éjectables.  Même les meilleurs.  Car comme en politique, le pouvoir use, et son détenteur ne fait qu'un temps.



Le 2 juin 2022, le trophée Jack Adams, récompensant l'entraîneur de l'année dans la NHL, a été remis au vétéran de 63 ans Darryl Sutter, des Flames de Calgary.  Moment émouvant pour la grande famille Sutter, alors que c'est Brian Sutter, le frère de Darryl et gagnant de ce trophée en 1991, qui a eu l'honneur d'annoncer l'heureuse nouvelle au très méritant lauréat https://twitter.com/i/status/1532511762343395348.

Le gagnant de ce prestigieux trophée n'est pas toujours le coach qui dirige la meilleure équipe, ou celle qui est la plus talentueuse.  C'est souvent celui qui obtient les meilleurs résultats et qui se débrouille le mieux avec les éléments qu'il a à sa disposition.  Savoir utiliser son personnel et en tirer le maximum est un art qui demande du doigté et de l'expérience.

Avec les millions de dollars qu'il coûte, chaque joueur que vous dirigez est une petite ou moyenne entreprise en soi.  Ça prend de la poigne pour mener tous ces riches individus et les faire jouer en équipe, et les uns pour les autres.  En même temps, vous devez aussi ménager leur susceptibilité et leur égo, qui est souvent gigantesque.  Savoir diriger d'une main de fer dans un gant de... hockey ?!

C'est un euphémisme de constater que les dirigeants du Cacanadien n'y sont pas parvenus l'an passé.  Dans le cadre de la remise des trophées Canadindes 2021-22, j'annonce la création du trophée «Jack Ass» qui sera décerné au pire dirigeant de l'année chez les Cannes à CHiens.

Voici les nominés :




1) Dominique "Dumb" Ducharme :  j'en ai vu défiler des entraîneurs perdants chez les CHieux depuis que j'observe le hockey.  Aucun ne fut aussi pourri que Dumb Ducharme.  Lors des premiers points de presse que j'ai entendus et vus de lui, j'étais littéralement sidéré.  Son immense difficulté à aligner deux mots sensés et à les faire sortir de sa bouche me rappelait un «Ti-Coune» ou un arriéré mental.

Pourtant, la direction du Caca, et ses porteurs de valises de la sale faune journalistique de Mourial, nous l'avaient présenté comme un coach brillant de la nouvelle génération, maîtrisant les techniques et les méthodes modernes des systèmes d'entraînement d'avant-garde.

Je me disais, s'il a autant de mal à communiquer avec ses joueurs qu'avec la presse, le pauvre Dumb va au-devant de gros ennuis.  Sa fiche avec le Gros CHiard parle d'elle-même : une piètre récolte de 23 gains en 83 parties.  Et la saison dernière, avant son congédiement : un dossier misérable de huit victoires en 45 matchs, dont seulement deux à ses 22 dernières tentatives !  Du jamais vu !  Ses joueurs ont décroché rapidement devant l'incompétence de leur cancre de coach...



2) Marc Bergevin :  on se demande comment Bergevaurien a pu rester assis aussi longtemps dans le fauteuil de directeur-général des CHaudrons.  Si on exclut la saison improvisée - et la faible nouvelle division canadienne - de la COVID-19 en 2020-21, en presque dix ans de règne, Bergevin n'a gagné que trois séries éliminatoires, en a perdu trois en première ronde, et les a ratées à trois autres occasions.  Un bilan assez médiocre merci !

En près d'une décennie, il en a fait des bourdes.  La première fut l'embauche de la face à claques Michel "t'é rien" Therrien comme entraîneur en chef.  L'année suivante, son mauvais jugement l'amène à signer l'agent libre (fini) Daniel Brière.

Puis, en 2014, en tant que négociateur poche, il consent un contrat monstre de huit ans, 72 millions de dollars, au gros épais P.K. Subban.  Il devra s'en débarrasser deux ans plus tard, les coéquipiers de P.K. ne voulant plus le sentir à Montréal.  La même année, Bergevin frappe de l'air avec les acquisitions dérisoires de Brandon Davidson, Dwight King, Steve Ott et Andreas Martinsen.  Tous des flops monumentaux !

Mais le pire fiasco survient en 2017-18.  Bergevin multiplie les mauvaises transactions et les décisions malheureuses.  Nathan Beaulieu, Mikhail Sergachev, Alexei Emelin et Andrei Markov quittent l'équipe et ils sont remplacés par les décevants David Schlemko, Karl Alzner, Joe Morrow et Jonathan Drouin.  Il fait signer un autre contrat regrettable à Carey Price (huit ans, 84 millions de $), un gardien en déclin, souvent et longtemps blessé.  Tout comme le défenseur Shea Weber, obtenu en échange de Subban, et qui est lui également sur la pente descendante de sa longue carrière.

Les saisons suivantes seront du même genre (pourries) et avec le début de campagne catastrophique de l'automne dernier, Geoff Molson n'aura pas le choix de congédier Bergevaurien le 29 novembre.


3) Trevor Timmins : le recruteur en chef du torCHon connaîtra le même sort que Ducharme et Bergevin : la porte vers le dehors.  Mais il est trop tard.  Après dix-neuf ans en poste, Timmins n'a pas cessé de détruire l'avenir du club par ses choix de repêchage atroces.  Aucun bon joueur ne voulant jouer pour Montréal, que ce soit par voie d'échanges ou via le marché des agents libres, la seule façon de bâtir le club de la métro-pauvre c'est par le repêchage amateur.  Si vous ne faites pas de bonnes sélections, vous êtes perdus.

Et Timmins a été un champion des sélections ratées.  Mentionnons seulement des choix hâtifs et nuls (deux premières rondes) comme : Cory Urquhart, Maxim Lapierre, Kyle Chipchura, Guillaume Latendresse, David Fisher, Ben Maxwell, Mathieu Carle, Danny Kristo, Louis Leblanc, Jarred Tinordi, Nathan Beaulieu, Alex Galchenyuk, Sebastian Collberg, Dalton Thrower, Michael McCarron, Jacob De La Rose, Jayden Struble, Joni Ikonen, Josh Brook, Ryan Poehling, Zachary Fucale, Jacob Olofson, Nikita Scherbak, Noah Juulsen, Jesperi Kotkaniemi, Jesse Ylonen, Logan Mailloux.

Pire, les rares bons choix de Timmins ont souvent été échangés plus tard, dans les transactions désavantageuses de son grand ami Symphorien Bergevin.  Une amitié qui explique pourquoi Timmins a pu exercer aussi longtemps son incompétence dans le bidonville moronréalaid.


4) Martin St-Louis :  après le déluge des dirigeants incompétents limogés, on croyait avoir tout vu.  Mais non !  Les remplaçants de ces gaffeurs en ont fait sourciller plus d'un.  Le D.G. marionnette Kent Hughes et le coach de Pee Wee Martin St-Louis arrivent avec le club sans la moindre expérience dans ces postes stratégiques.

Après un début chanceux à la barre de sa lamentable formation, la sauce se gâte pour Tintin St-Louis.  Sous sa direction, son club de broches à foin ne gagne que quatre de ses seize derniers matchs.

Qu'à cela ne tienne, au début de juin, ses amis Gorton et Hughes lui ont fait signer un contrat de trois ans pour officialiser sa nomination comme entraîneur en chef.

🏒🏒🏒🏒🏒

Selon l'heureux élu, le CHicolore n'est pas une équipe de 32e place.  C'est ce que tous les experts disaient avant le début de la saison dernière.  Mais c'est l'incompétence crasse de ses dirigeants qui a fait chuter ce club, déjà faible, au plus bas des plus bas.

jeudi 7 juillet 2022

MES NUITS AGITÉES AU LIT AVEC CHANTAL MACHABÉE, SCARLETT JOHANSSON ET PAIGE VANZANT !


















J'imagine que c'est le cas pour un peu tout le monde.  Si vous faites des projets, ou si vous êtes préoccupé par une situation particulière, il est fort possible que vous fassiez des rêves ou des cauchemars à ce sujet pendant vos nuits de sommeil.

Je me rappelle que, naguère, au collège, mon vieux professeur de français recommandait à ses élèves de rêver à la composition de leur texte avant de l'écrire; que ce soit un poème, un essai, un discours, ou une nouvelle...

Dans ce rêve, qu'il soit fait en songe ou éveillé, l'imagination (souvent nommée «la folle du logis», travaillerait à nous fournir des mots, des formules, des figures de style, et des images qui viendraient nourrir notre projet d'écriture ou de présentation orale.

D'autres fois, c'est quelque chose que vous avez vécu, vu, ou entendu durant la journée qui vous fera rêver ou faire des cauchemars la nuit suivante.  C'est ainsi que les artistes font souvent leurs futures oeuvres, dans leur subconscient, lorsqu'ils dorment profondément.

Ces phénomènes nocturnes provoquent fréquemment un sommeil agité, de la somnolence, et parfois même du somnambulisme.  Vous pouvez vous réveiller en sursaut.  Parfois avec soulagement, en réalisant que ce n'était qu'un mauvais rêve.  Ou, au contraire, en étant déçu que ce rêve merveilleux ne soit pas réalité.



Il peut également arriver que ce rêve soit une pure fantaisie et qu'il vous fasse rire.  Comme la fois où j'ai rêvé que Carey Price, le gardien de buts des Canadiens de Montréal, - et un cowboy à ses heures -, chevauchait un dindon géant après avoir été échangé à un club de hockey portant un uniforme blanc et vert. https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2022/03/carey-price-un-retour-au-jeu-sans.html

Vous pouvez oublier rapidement ce rêve ou ce cauchemar, sinon vous pourrez vous souvenir du moindre détail, comme si vous aviez créé un film fantastique, multi-dimensionnel, et en technicolor !  Une création imaginaire dont la puissance semble décuplée et qui surpasse, de loin, tout ce dont vous vous sentiez capable...  

C'est ce qui m'arrive invariablement lorsque je prépare un article pour mes blogues.  Après l'idée de départ sur le sujet dont je vais traiter, je collecte le plus d'informations possibles, que ce soit sous formes d'écrits, ou de matériel audio-visuel.


Ainsi, lorsque j'ai récemment rêvé à un de mes billets sur l'un de mes sites Anti-Habs, le souvenir d'une photo (ci-dessus) de Chantal Machabée m'a causé un horrible cauchemar !  Wachhhh !  On dirait que depuis que Chantal a quitté le réseau des sports (RDS) pour son nouveau poste de vice-présidente des communications des Canadiens de Montréal, elle a l'air d'une vieille sorcière ! https://lantihabsillimite.blogspot.com/2022/01/marc-labreche-se-moque-de-lentraineur.html



Heureusement, dans une nuit suivante, alors que j'étais dans les bras de Morphée, j'ai plutôt rêvé que j'étais dans les bras de la ravissante actrice américano-danoise Scarlett Johansson (Black Widow, Lucy).  Quel délice !  Mais quelle déception au réveil !  Encore là, le rêve tirait son origine d'une photo la représentant aux côtés de Brie Larson (Room, Captain Marvel), une autre belle et talentueuse actrice, dont le père est Québécois ! https://fullsexydujour.blogspot.com/2022/06/brie-larson-annonce-lete-avec-une-photo.html


Puis, la semaine passée : autre rêvasserie encoure plus troublante et tourmentée.  Lorsque je me suis réveillé, j'étais en sueur et épuisé...  Mon subconscient m'avait fait voyager jusque dans une cage de kick-boxing de la UFC (Ultimate Fighting Championship) où je devais affronter la dure à cuire Paige VanZant !  Inutile de dire que, dans ce combat fictif, même dans un rêve, où tout paraît souvent possible, je n'avais pas le dessus sur la jolie mais redoutable batailleuse d'arts martiaux !https://covergirlsdusport.blogspot.com/2022/07/paige-vanzant-la-belle-dure-cuire.html

Pour le meilleur ou pour le pire, je suis un rêveur très actif.  J'adore rêver à toutes ces splendides sportives, ces cover girls, ou ces artistes, dont je suis les activités sur mes nombreux blogues (voir les adresses sur la barre latérale à droite).  Mais je dois confesser que mon pire cauchemar serait de rêver que les Canadiens de Montréal gagnent la Coupe Stanley !  Pas de danger que ça arrive, surtout avec la saison de rêve qu'ils viennent de nous faire vivre...pour de vrai !!!    

vendredi 22 avril 2022

GUY LAFLEUR (1951-2022) : LA MORT EMPORTE UN VRAI DE VRAI...



Deux des plus grandes légendes du hockey, Mike Bossy et Guy Lafleur, viennent de nous quitter à quelques jours d'intervalle.  À plus d'un point de vue, ils se ressemblaient beaucoup.  Ils sont tous les deux décédés du cancer du poumon.  Ils ont dominé le monde du hockey comme peu de joueurs l'ont fait dans l'histoire de notre sport national.  Même force de caractère, même amour passionné de leur sport, même immense talent brut, deux travailleurs acharnés et perfectionnistes obsessifs.  Toutes des caractéristiques des grands athlètes.

Dans un article écrit pour mon blogue TEMPLE DE LA HONTE DU CH (https://templedelahonteduch.blogspot.com/2015/08/savoir-comment-sy-prendrecest-dire-pas.html) j'ai abordé comment le Canadien de Montréal a maltraité ou n'a pas honoré quelques-uns de ses plus valeureux porte-couleurs, vers la fin de leur carrière ou après leur retraite.

La liste est longue.  Mentionnons seulement les Jacques Plante, Henri Richard, Bernard Geoffrion, Émile Bouchard, Patrick Roy, et Guy Lafleur.  Même le grand Jean Béliveau a été hué par les fefans du Canadien à sa dernière année de carrière (1969-1970) quand la Sainte Flanelle a raté les séries éliminatoires pour une rare fois.  C'est l'une des raisons pour lesquelles je suis devenu un Anti-Habs.







Après avoir été le meilleur joueur de l'histoire du hockey junior au Canada, avec les Remparts de Québec, Lafleur a été repêché par le CH après une série de manigances du directeur gérant du tricolore Sam Pollock.  Déjà, à un si jeune âge, Guy avait une tonne de pression sur les épaules.  On le faisait photographier avec Maurice Richard et le Gros Bill (Béliveau) en le désignant déjà comme le successeur de ces deux légendes.

Est-ce en raison de cette pression énorme, ou de contraintes reliées à la tentative de l'enfermer dans un système de jeu qui ne lui convenait pas, qui ont fait que le nouveau numéro 10 a tardé (pendant trois ans) à s'affirmer avec le club dont il rêvait depuis son enfance ?  Ironiquement, c'est le même problème qui le poussera à prendre prématurément sa retraite quatorze ans plus tard.  Étouffé par le système défensif préconisé par l'entraîneur Jacques Lemaire, le démon blond n'est plus lui-même, et, trop fier pour accepter sa baisse de rendement, et son temps de glace de plus en plus réduit, il lance la serviette.

Le Canadien aurait-il pu lui donner la chance de continuer sa brillante carrière en l'échangeant à une autre équipe, dans laquelle il aurait été plus libre d'exprimer son immense talent offensif ?  

Auparavant, Lafleur avait eu d'autres raisons d'éprouver de la rancoeur envers les dirigeants du CH, en particulier, le président de l'équipe, Ronald Corey.  Bien qu'il était incontestablement le meilleur joueur du club (et de la LNH) il était sous-payé.  Quatre ou cinq de ses coéquipiers gagnaient plus d'argent que lui.  Lafleur a même dû menacer de faire la grève (un précédent, à l'époque) pour forcer les propriétaires de l'équipe à reconnaître sa valeur...

De plus, par-dessus le marché, après avoir été poussé indûment à la retraite, Lafleur accepta un poste d'ambassadeur ou d'agent de relation publique avec le tricolore, seulement pour être congédié -à nouveau- un an plus tard, parce qu'il revendiquait un meilleur salaire pour ses services.  Une nouvelle guerre de "Corey", en quelque sorte !




Après avoir été poussé vers la sortie par le Canadien, "Flower" continue de jouer pour le plaisir dans des matchs amicaux ou pour le bénéfice de bonnes oeuvres.  Évidemment, ce n'est pas du hockey professionnel mais plusieurs observateurs remarquent son aisance, sa vitesse, son excellent coup de patin, la force de ses lancers.  Ils se demandent pourquoi Lafleur ne joue plus professionnellement.  Son agent et ami Yves Tremblay pense la même chose et se met à rêver à un retour au jeu de son protégé.

Après avoir contacté quelques clubs de la LNH pour sonder leur intérêt envers cet ambitieux projet (dont Lafleur lui-même n'est pas au courant), les Rangers de New York, par l'entremise de leur entraîneur Michel Bergeron et du gérant général Phil Esposito, lèvent la main et montrent leur ouverture à cette idée qui semble très audacieuse.  Tremblay convainc Guy de tenter l'aventure et celui-ci prend la chose très au sérieux.

Avant de tenter sa chance au camp d'entraînement des Rangers, qui, cette année-là (1988) se déroule à Trois-Rivières, Lafleur subit un dur entraînement de boxe.  Il se présente à Bergeron et à Esposito dans une resplendissante forme physique.  Avant même la fin de son premier match d'exhibition, Esposito est si impressionné qu'il décide tout de go de lui faire signer un contrat.

Après une saison à New York, où il tient son bout en étant capable de compétitionner dans la grande ligue, Guy viendra terminer sa carrière avec les Nordiques, à Québec (deux ans), une ville chère à son coeur depuis ses années de gloire avec les Remparts.  Durant sa tournée d'adieu, Lafleur a enfin le sentiment de terminer sa carrière comme il était en droit de le faire.  Il reçoit les hommages, la reconnaissance et l'amour des amateurs de hockey partout où il passe.  Il est acclamé et il a la satisfaction d'avoir poussé sa passion du hockey jusqu'au bout...ce que le Canadien de Montréal ne lui avait pas permis.

Guy Lafleur était un hockeyeur spectaculaire, une super vedette au style unique en son genre.  C'était l'idole d'un peuple et ce dernier l'aimait tellement parce qu'il était resté un homme du peuple, accessible, généreux, gentil.  Gentil et généreux comme sa propre idole, Jean Béliveau.  Fougueux, leader, franc comme Maurice Richard.  Mais avec en plus ce savoureux sens de l'humour qui le rendait si sympathique.  On l'aimait et il nous aimait.  Tout naturellement et simplement.















Il n'acceptait pas les demi-mesures et la médiocrité, qui sont devenus les marques de commerce du Canadien de Montréal au cours des 25 dernières années.  Je me rappelle avoir bien ri quand Guy avait dit que le CH avait quatre 4e trios...  Ce fut tout le contraire quand je l'ai vu à Québec, en octobre dernier, lorsqu'on a retiré à jamais le numéro 4 qu'il avait brillamment porté dans ses formidables années dans la Ligue Junior Majeure du Québec.

On avait également dévoilé l'oeuvre d'art à sa gloire devant le Centre Vidéotron. De voir ce grand Québécois, amoureux de la vie, jadis une force de la nature, miné par la maladie, se sentant prématurément condamné, malheureux de faire ses adieux à tous ces admirateurs autour de lui, c'était d'une tristesse à fendre le coeur... 

On va s'ennuyer du franc parler, de l'entregent et du sens de l'humour de Ti-Guy !  En haut, précédé de justesse par Mike Bossy, que d'anecdotes savoureuses et d'éclats de rire les deux compères vont partager !  En apprenant le décès de Mike, Guy avait déclaré qu'il avait le coeur lourd.  Il n'a pas tardé à le rejoindre.  Qui se ressemblent s'assemblent !  Au plus haut des cieux !  Salut les gars ! Deux «vrai de vrai» champions !

Lors de sa vraie retraite, le 31 mars 1991, Québec lui avait rendu tout un hommage dans le vieux Colisée.  Pour voir la belle cérémonie qu'on lui avait réservée, voir mon article sur mon blogue NORDIQUEBEC : https://nordiquebec.blogspot.com/2022/05/la-legende-de-ti-guy-quebec-31-mars-1991.html      

mardi 15 février 2022

LE CH, UNE DES PIRES ÉQUIPES DE TOUS LES TEMPS : MAIS, MAIS, VOIR UN FEFAN PLEURER (2)



Le Canadien de Montréal est la risée de toute la Ligue Nationale de Hockey.  Une des pires équipes de l'histoire.  Ils ont perdu leurs dix derniers matchs et 23 de leurs 25 derniers.  Ils sont bien installés dans la cave du classement général.    Ils  sont à 13 points du Kraken de Seattle, un mauvais club d'expansion.


Leurs têtes dirigeantes tombent l'une après l'autre.  Leurs joueurs rêvent d'être échangés pour fuir l'enfer du bidonville de Mourial.  Leurs partisans ont honte de leur ex-glorieux et ils se cachent, pour pleurer ou avaler leurs anti-dépresseurs.


Depuis que Nikita Kucherov les a ridiculisés dans son point de presse après avoir gagné sa deuxième Coupe Stanley d'affilée avec le Lightning de Tampa Bay, rien ne va plus pour les fefans du Cacanadien de MoronsRéal.  Kucherov ne voulait pas retourner dans la métropauvre après avoir vu l'incroyable scène de liesse des fefans, célébrant la seule victoire du torCHon en finale, lors du match précédent la victoire décisive des Bolts.


Tout ça m'a inspiré une seconde version de VOIR UN FEFAN PLEURER.  J'en avais déjà écrit une sur mon blogue L'ANTI-HABS ILLIMITÉ en 2013, quand les CHaudrons étaient aussi minables que maintenant.  Voici le lien :

https://lantihabsillimite.blogspot.com/2013/01/bien-sur-les-habs-sont-bons-derniers.html




C'est une saison de rêve pour les Anti-Habs.  Savourons-là à plein !  Allons ! Chantons tous en choeur, sur l'air de la célèbre chanson de Jacques Brel, VOIR UN AMI PLEURER (vidéo ci-dessous).


«Bien sûr les Habs sont bons derniers,

Ils l'ont tellement bien mérité,

Sur la glace ils font tant pitié,

C'est le comble d'la médiocrité.


Bien sûr les fefans sont cachés,

Ils ne rêvent plus de Coupe Stanley,

Les Anti-Habs eux sont comblés,

De voir tous ces fefans pleurer.


Pas besoin de se suicider,

Dans le fond c'est juste du hockey,

Les Anti-Habs sont enchantés,

Mais... voir tous ces fefans pleurer...




Bien sûr les joueurs sont écoeurés,

Ils rêvent de se faire échanger,

Surtout quand ils se font huer,

Par tous ces fefans névrosés.


Le boss des CHieux n'ose plus parler,

Il perd des sous, il est navré,

Les fefans ont beau critiquer,

Il les laisse dans leur merde crouler.


Pas besoin de se suicider,

Dans le fond c'est juste du hockey,

Les Anti-Habs sont enchantés,

Mais...voir tous ces fefans pleurer...