lundi 26 décembre 2022

SI CAREY PRICE ET LES DIRIGEANTS DU CH ÉTAIENT DES PINOCCHIOS...



Ouais, avec la quantité astronomique de mensonges dont ils abreuvent leurs partisans et les «merdias», depuis très longtemps, si les dirigeants du Cacanadien de MoronsRéal, et leur joueur le plus renommé, Scarey Price, étaient des Pinocchios, leur nez serait aussi long que des manches à balais !

Cacher la vérité, la violer, mentir, les Canailliens s'en sont fait une spécialité et une tradition au fil des dernières décennies.  La dernière saga de Scarey Price, des armes à feu, et du massacre de la Polytechnique, n'est que la suite d'une longue tradition de mensonges éhontés de cette organisation foncièrement malhonnête et hypocrite.

Rappelons-nous, il y a une dizaine d'années, le scandale étouffé des agressions sexuelles -dont au moins une sur une fille d'âge mineur- impliquant quelques joueurs du torCHon.  Puis, à peu près à la même période, les tentatives infructueuses de l'organisation des Molson de camoufler le scandale de Roman Hamrlik et des frères Kostitsyn liés à un membre de la pègre mourialaise.



Combien de fois nous a-t-on menti au sujet des blessures ou des problèmes personnels de certains porte-couleurs CHicolores ?  Très souvent...  Un joueur subissait-il une commotion cérébrale évidente, à la suite d'une collision ou d'un dur coup d'un adversaire, oups ! les responsables (ou plutôt les irresponsables !) du Caca d'CHien faisait fi de la santé du pauvre bougre et le renvoyait dans la mêlée après un pseudo-examen médical de quelques minutes dans le vestiaire...

Ce qui est le plus drôle (ou le plus pathétique), c'est que la direction des CHaudrons a menti si longtemps dans le cas de Price.  Ses problèmes de consommation de «substances» illicites (plus que des abus d'alcool, la version officielle mensongère) ont été cachés pendant plusieurs années.  Des blessures inventées se traduisant par de longues absences de durée indéterminée...

Et dans l'affaire des armes à feu et de la Poly, Scarey et les Cannes à CHiens se sont surpassés en matière de mensonges en y allant de menteries doubles ou «superposées».

En effet, on a d'abord vu le coach de pee-wee Tintin St-Louis, et quelques joueurs de la Flanelle sale, jouer les vierges offensées et défendre Scarey bec et ongles en affirmant qu'il ne pouvait pas être au courant de la tuerie de Polytechnique parce qu'il n'avait que deux ans lorsqu'elle s'est produite.  Pourtant, chaque année, le 6 décembre, on commémore cette tragédie dans la métropauvre.



Alors que l'affaire déchaînait les passions jusqu'à en faire une crise, Price a démenti qu'il n'était pas au courant du triste événement de 1989.  Ce qui est peut-être un mensonge par-dessus un autre, puisque Scarey a toujours vécu en vase clos dans la cité de Valérie Plante.  Il n'a jamais dit un mot de français dans ses communications verbales durant sa carrière professionnelle.

Le département des communications du Gros CHiard, et le président du CH, l'épais Geoff Molson, ont également erré dans cette crise.  Tout ce beau monde s'est contredit à qui mieux mieux.  Un vrai fiasco !  Et la preuve irréfutable qu'ils ont menti d'une façon ou d'une autre...

En s'associant à la Coalition canadienne pour le droit des armes à feu, qui, à la date anniversaire de la tuerie de la Polytechnique, a honteusement utilisé le code «Poly» pour inviter ses membres à profiter de spéciaux sur les produits en vente sur son site internet, Price a davantage ruiné sa réputation et compromis son héritage à titre de joueur vedette de la LNH.



Mais les fefans du Caca ont la mémoire courte.  Gageons que Scarey aura quand même droit aux grands honneurs et aux hommages de la multitude des partisans bipolaires du CH quand on retirera son chandail après la fin réelle de sa carrière de hockeyeur adulé...  D'ici là, Price aura encaissé les 23½ millions de $$$ qui restent à son contrat...