lundi 1 janvier 2024



LE  CANADIEN  DE  MONTRÉAL  EN  SÉRIES !

Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !  Avouez que je vous ai bien eu avec le titre de mon billet !  Le Canadien de Montréal en séries !  Suprême bonheur pour les fefans du CH...  Immense déception pour les Anti-Habs...

Mais non, le torCHon en séries, ce n'est pas le Cacanadien en séries éliminatoires.  Ce qui signifierait une forme de respectabilité pour le club de la métropauvre moronréalaide.  Mais ici, "séries" veut dire "séries de défaites", contre divers clubs de la Ligue Nationale de Hockey.

"Séries de défaites" pour attester de la pourriture de ce club de broches à foin qui éprouve ses cinglés de partisans depuis trois décennies.  Et qui, par conséquent, réjouit les Anti-CHaudrons depuis tant de lunes !


L'autre jour, après une autre démoralisante défaite contre les Hurricanes de la Caroline (5-3, jeudi 28 décembre 2023), l'idée m'est venue de faire une recherche sur les séries de déboires et d'humiliations des CHieux contre diverses formations de la LNH.

Les médias d'information avaient noté que ce plus récent revers contre les Canes était le 15e dans les 17 derniers affrontements entre les deux équipes.  Une neuvième défaite de suite des CHaudrons en Caroline.  Les misérables Canailliens n'ont pas savouré la victoire à cet endroit depuis le 7 avril 2016 !  C'est inouï !

Mais il y a pire !  Les Habs-Not n'ont pas gagné au Minnesota, contre le Wild, depuis le 20 mars 2011 !  Ayoye !  Neuf échecs consécutifs contre cette formation du Nord des USA, proche des Grands Lacs.  La fiche des Cannes à CHiens lors des dix-sept dernières parties contre eux : deux petits gains, quinze revers.  Ça fait pitié !


Contre les clubs de la Floride, c'est également pitoyable !  Le Lightning de Tampa Bay détruit le torCHon depuis si longtemps.  Y compris dans les rares occasions où le Gros Chiard a participé aux séries de fin de saison.  Les hommes du coach Jon Cooper ont ainsi anéanti les fous espoirs des fefans de la CHiasse en 2021 et en 2015, lors des séries Stanley.

Hier, les Bolts ont aligné une douzième victoire consécutive contre les pauvres Cacanadiens.  Depuis la saison 2016-2017, ils ont compilé un dossier de 17-4 face aux vauriens de l'entraîneur de pee wee Martin St-Louis (0-6 contre T.B.).  Les CHieux n'ont pas triomphé à Tampa depuis le 31 mars 2016.  Une éternité !

Ce qui est le plus drôle c'est que les fefans du Caca assistent toujours en grand nombre aux matchs de leurs favoris en Floride.  Les rencontres contre le Lightning et les Panthers, dans le "Sunny State" ont traditionnellement lieu lors de la période des fêtes de fin d'année.  Les Snowbirds CHicolores se retrouvent alors souvent sous le chaud soleil de la Floride et ils se rendent en masse aux matchs des CHaudrons contre les formations floridiennes.


Immanquablement, les infortunés fefans assistent à de cinglants revers de leurs p'tits gars poCHes.  Il en est ainsi contre les Panthers aussi.  C'est sept revers d'affilée contre eux depuis la saison 2019-2020.  Huit défaites en neuf matchs.  Le dernier gain du torCHon à Sunrise remonte aux calendres grecques, le 28 décembre 2018 !

Parmi les autres séries honteuses du club des Molson, mentionnons :


🏒 Contre les Maple Leafs, quatre défaites de suite à Toronto.  Neuf échecs en onze parties dans la Ville Reine depuis la saison 2017-2018.

🏒 Quatre revers consécutifs aux mains des Golden Knights de Las Vegas au cours des quatre plus récentes rencontres.

🏒 Misérable fiche de 3-11 contre les Devils du New Jersey depuis la saison 2016-2017.  Dont sept défaites en huit joutes devant les fefans, à Mourial.


🏒 Pas plus de chance à Boston pour les CHaudrons.  Leur dernier gain à Beans Town contre les Bruins date du 27 octobre 2018.  Depuis la saison 2017-2018, les Cacas d'CHiens montrent un piètre palmarès de 4-13 contre les "B'S".

🏒 Contre les Sharks de San Jose, la fiche du CH est pathétique : depuis la saison 2011-2012, trois petites victoires en dix-sept rencontres.

🏒 La Californie n'est décidément pas hospitalière pour la Sainte Guenille.  Elle n'a pu éviter la défaite à cet endroit depuis le 5 mars 2019.  Globalement, à domicile ou à Moronréal, les Kings affichent un reluisant dossier de 12-5 depuis la saison 2013-2014.



🏒 Les Predators de Nashville comptent également parmi les bêtes noires de la CHiure : les porte-couleurs de celle-ci n'ont pas gagné à Nashville depuis le 3 janvier 2017 (0-3 depuis ce temps).  Depuis la saison 2017-2018, Les Preds ont inscrit sept gains dans les huit derniers duels entre les deux formations.

🏒 C'est aussi sidérant de constater que les Stars de Dallas ont remporté leurs six derniers matchs à MortYial contre les piteux Canassons de la métropauvre.  Un seul petit gain des Habs contre les Stars dans les sept derniers affrontements.

🏒 Les Habitants étant des mauviettes et des peureux reconnus, vous vous doutez bien qu'ils n'ont guère eu de succès à Philadelphie, où les robustes Flyers les ont toujours attendu de pied ferme !  Les «Non Glorieux» se sont inclinés quatorze fois dans les dix-huit dernières parties là-bas, dans la Ville de l'Amour Fraternel.



🏒 Enfin, bien que les Sénateurs d'Ottawa ne représentent pas une équipe particulièrement dangereuse, ils ont tout de même renversé les Canailliens lors de leur cinq derniers matchs contre eux.

Voilà, c'est un autre aperçu du CH à titre de club pourri depuis des temps immémoriaux.  Une autre preuve de leur longue et pénible déCHéance.  Pour le prestige de leurs nombreuses Coupes Stanley de jadis, on repassera !  Depuis 30 ans, ils ont plus de scandales et de honte à leur débit, que de raisons de se réjouir à leur crédit.  Au grand plaisir des Anti-Habs !

Dans un prochain article, sur mon blogue «L'Anti-Habs Illimité», je vais détailler la fiche des meilleurs "Habs Killers" des vingt dernières années.  Ces joueurs ont excellé contre la troupe de vauriens des Canailliens.  Vous le devinerez, plusieurs de ces as anti-CH appartiennent à des clubs qui ont fait mal paraître les Chaudrons au cours de cette période faste pour nous, les Anti-Sainte Guenille...  

lundi 2 octobre 2023



DAVID SAVARD REMPORTE LE NONO NORRIS 2023 !
Les délibérations ont été longues et laborieuses.  Le jury a tergiversé et a changé sa décision à deux reprises.  Joel Edmundson avait d'abord été désigné comme le récipiendaire du trophée NONO Norris, ce prix Canadinde remis au pire défenseur de l'année chez les CHieux de Moronréal.  Mais ce souffreteux chronique (dos) ne fait plus partie du torCHon.  Il a été échangé aux Capitals de Washington en retour de choix au prochain repêchage (3e et 7e ronde).  

Pour s'en débarrasser, le Gros CHiard (CH) devra aussi assumer encore la moitié de son salaire de 3,5 millions de dollars, dans ce qui sera sa dernière année de contrat en 2023-24.  Devinez quoi ?  Edmundson s'est de nouveau blessé à Washington.  Opéré à une main, il ratera de quatre à six semaines de jeu.  Éclopé permanent...  Le genre d'infirme que le CH collectionne toujours.  C'est normal, les CHaudrons sont, par nature et par obligation, des ramasseux de vidanges.  Des restants que les autres clubs ne veulent plus.

Edmundson a été pourri, la saison passée, à Mourial, capitale des sans abri et des prostitués.  Son dos en compote lui avait fait d'abord manqué 21 parties et...il aurait mieux valu pour lui, et les CHieux, qu'il ne joue pas pantoute.  En 61 matchs, il n'a marqué que deux petits buts, en plus de fournir onze aides, pour une maigre récolte de 13 points.  Il a été affreux, commettant 71 revirements, et terminant la campagne avec un retentissant -29.



Mais le jury des prix Canadindes a finalement décidé de déshonorer plutôt un défenseur qui fait toujours partie de la CHiasse.  Il s'est alors tourné vers Kaiden Guhle (photo ci-dessus), avant d'en prendre pitié à cause de son jeune âge (21 ans).

Soulignons toutefois au passage, que le numéro 21 du Cacanadien a été une autre des nombreuses victimes de l'inflation verbale des membres de la direction du club des Molson.  En effet, ces dirigeants, dont le directeur du développement des joueurs, Rob Ramage (et les fefans qui gobent leurs couleuvres bien assaisonnées), l'ont couvert de louanges en le comparant à de solides défenseurs comme Shea Weber (blessé, retraité virtuel), Ryan McDonagh (Nashville), Mattias Ekholm (Edmonton) et Esa Lindell (Dallas).

Disons que Guhle a des croutes à manger (et beaucoup de vitamines) avant de pouvoir supporter ces comparaisons flatteuses.  À sa saison recrue, en 2022-23, il n'a joué que 44 rencontres, étant en outre blessé à une cheville, et n'a pas démontré la robustesse qu'on lui attribue en le comparant aux solides gaillards mentionnés plus haut.



Pour le joueur prodige annoncé, il n'a rien cassé avec ses quatre buts, 14 passes, 51 revirements et sa fiche de -19.  Mais donnons-lui une chance de s'améliorer au cours des prochaines saisons.  Ou de devenir un autre «flop» qui s'ajoutera à la longue liste des choix de première ronde (16e au total en 2020) du CHicolore...

Enfin, le jury des Canadindes a trouvé un consensus en fixant son choix sur le vétéran David Savard pour le Nono Norris (à ne pas confondre avec le Norris, qui est le trophée remis annuellement au meilleur défenseur de la LNH).  Le fait que les journalistes lèCHe-culs de la métro-pauvre de Valérie Plante ait donné le trophée Jacques-Beauchamp à Savard, en qualité de héros obscur, n'a pas influencé le comité de sélection des Canadindes.

D'ailleurs, Savard (photo ci-dessus) lui-même semblait gêné d'accepter ce trophée ridicule.  Peut-être en raison de son dossier peu reluisant de -14 dans les plus/moins, ainsi que ses 61 revirements.  De plus, il a été loin de s'affirmer quand venait le temps d'enlever le disque aux adversaires.  À part Edmundson (0,60 vol de rondelle par 60 minutes de jeu), Savard a été le pire défenseur des CHaudrons dans ce département avec 0,64 larcin par 60 minutes.



Bref, en 2022-23, David Savard en a encore arraché sur la patinoire.  Lent comme un colimaçon, nul en offensive, accablé par le poids des saisons (il aura bientôt 33 ans) et du piano qu'il semble porter avec peine sur ses épaules amochées, il n'a justifié sa présence que par son rôle de second gardien de buts sur la patinoire.  Il a dominé son club de broches à foin en bloquant 176 lancers en 62 matchs disputés.

Mais le revers de la médaille, c'est qu'en s'exposant à autant de tirs, il est souvent blessé.  En 2022-23, vingt joutes ratées (genou, haut du corps); en 2021-22, vingt parties sur le carreau (cheville, COVID-19); de 2013 à 2020, 37 matchs d'absence avec Columbus et Tampa Bay.

Savard ne rajeunit pas.  Il est rendu à l'âge du déclin, et près du bout du rouleau.  Surtout avec son rôle de gardien no 2, sans jouir de la protection de l'équipement des vrais cerbères.  Gageons qu'il sera encore plus lent et empoté la saison prochaine.  Et toujours un excellent candidat au trophée NONO Norris !

🏒🏒🏒

Le jury des prix Canadindes a également rendu son verdict pour le choix du gagnant du trophée Jack Ass (et non pas le Jack Adams, décerné au meilleur entraîneur de la LNH).  Le titre de pire dirigeant des Canailliens en 2023 a donc été attribué à Martin «Tintin» St-Louis.  Il a devancé le président Geoff «Mollasson» Molson, et le faux DG Kent «Kojac» Hughes, le porteur de valises de Jeff «Gorgo» Gorton.


Les raisons de cette élection sont en partie illustrées dans mon article précédent (https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2023/09/martin-st-louis-ou-lart-de-senfarger-en.html).  Pour résumer, disons simplement que St-Louis a le talent de ce qu'il est toujours, c'est-à-dire, un coach de pee-wee.   

mardi 19 septembre 2023



MARTIN ST-LOUIS OU L'ART DE S'ENFARGER EN PARLANT...

On croyait avoir eu notre voyage avec les points de presse confus de Dominique "Dumb" Ducharme.  Son successeur, Martin "Pee Wee" St-Louis n'est pas mieux.  Depuis sa nomination à titre d'entraîneur des CanaCHiens, il multiplie les déclarations qui n'ont ni queue ni tête.


Il parle un dialecte qui n'est ni du franglais, ni de l'angfranc, si vous voyez ce que je veux dire ?  Pas vraiment ?  Bon, c'est un langage qui appartient seulement à Tintin St-Louis !  Et c'est à l'image des performances de son club sur la patinoire : très mauvais et difficile !



En tous cas, les humoristes et les farceurs s'en régalent.  Ils en profitent, comme la bande de l'émission de télé "Infoman" et le comédien et animateur Marc Labrèche pour rire des bourdes linguistiques de St-Louis, dans des parodies ou des sketchs désopilants.

D'ailleurs, St-Louis lui-même rit de ses propres maladresses.  C'est comme son «coaching».  Une vraie «joke» !  Voyez la vidéo ci-dessous...